Au fil d’une succession d’options loufoques, absurdes, cyniques, parfois grinçantes, «Pour signaler une disparition» vous propose une installation multidisciplinaire abordant le thème des nombreuses formes de disparitions qui peuplent notre histoire et notre présent. Votre principal défi : ne pas vous y égarer.
L’arrière de Pour signaler une disparition
Un peu d’histoire…
Lors de la première édition du festival Phénoméma à l’automne 2012, Pourquoi jamais a présenté un aperçu singulier de l’univers de l’artiste montréalaise Erika Weisz, pionnière féminine de l’illusionnisme mystérieusement disparue en 1933 alors qu’elle devait entamer une nouvelle tournée de spectacle après plusieurs années d’absence.
Intitulée Erika Weisz disparue, cette performance exposait les coulisses d’un spectacle qui n’eut jamais lieu, l’artiste n’étant jamais montée sur scène. Cette mise en scène des minutes précédant la disparition de la magicienne, présentant sa personnalité à la fois complexe et tourmentée ainsi que les conditions inexpliquées de sa disparition, a laissé le public devant un mystère irrésolu.
Dans le cadre de l’édition 2013 du festival Phénomena, Pourquoi jamais replonge dans l’atmosphère cabalistique surréaliste des « disparitions d’Erika Weisz » afin d’explorer à nouveau les mystères entourant la disparition de la prestidigitatrice.
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En 2015, l’installation « Pour signaler une disparition » a pris une nouvelle forme afin d‘accueillir dans son antre encore plus de curieux…